Voui-vouishiou...
Par Lucie Peut-Etre
Nous interrompons brièvement la diffusion de nos articles liés à la semaine du développement du râble pour célébrer comme il se doit la nouvelle année Baudelairienne.
Après un an 187 au parfum de Dahu, 188 se place sous le signe du Cochon Dinde. Mi-homophone, mi-cadavre exquis pourtant bien vivant, le Cochon Dinde (ou sa légende) est probablement apparu entre les années 160 et 170… Et peut-être aussi, deux basses-cours.
Volaille au pelage soyeux, le Cochon Dinde possède ailes et queue en tire-bouchon pour voler avec grâce, puis rebondir tout aussi élégamment, commodité non négligeable en cas d’atterrissage forcé. Foncièrement inutile, le Cochon Dinde n’en demeure pas moins vénérable et vénéré à la rédaction de la PQI. Aussi, nous l’honorerons tout au long de l’année. La rédaction lui transmettra d’ailleurs avec ferveur et le plus grand soin, chacune de vos offrandes (denrées délicates, pots de… Euh… Carafes de vin… Et cartes Visa Acceptés).
La PQI vous présente ses vœux les plus oniriques pour 188 (après CB, cela va sans dire). Puisse cette année être pour vous davantage synonyme d’idéal que de spleen.
P. S. : au passage, à nos lecteurs kozystanais amateurs de chocolat et de bière, nous souhaitons un Joyeux Pack.